Infos générales sur l'île de la Dominique, Dominica

Signification du drapeau de la Dominique:
Le drapeau de la Dominique fut adopté officiellement le 3 novembre 1978,
composé d’un fond vert avec une croix tricolore, symbole du christianisme, cette croix est composée de trois couleurs (jaune, blanc, noir) qui représente la Sainte-Trinité et dont chacune possède une signification :
la bande jaune représente le Soleil et l’agriculture (citrons ou de bananes);
la bande blanche représente les rivières et les sources d’eau, la pureté ;
la bande noire représente la riche terre mais aussi la population issue de la traite des Noirs. La Dominique a aboli l’esclavage dès 1833;
Le vert est le symbole de la végétation luxuriante.
Au centre du drapeau, on trouve un cercle rouge avec un perroquet présent endémique de l’île, le sisserou1 ou Amazone impériale (Amazona imperialis), devenu son emblème. L’oiseau incarne le désir et la volonté de s'élever toujours plus vers une haute destinée. Sa tête, sa nuque et sa poitrine sont bleu-violet ce qui fait du drapeau de la Dominique un des rares drapeaux contenant du violet. La couleur rouge du cercle symbolise la justice sociale.
Dix étoiles vertes à cinq branches entourent l’animal, une étoile pour chaque paroisse du pays.




Un hôtel, stonedge bien sur: http://stonedge.free.fr

Le mountain chicken: se rencontre du niveau de la mer jusqu'à 430 m d'altitude à Montserrat et à la Dominique et peut mesurer jusqu'à 22cm de long, mange des insectes, milles-pattes, serpents et petis mammifères .
La reproduction se produit d'avril à septembre pendant la saison des pluies. Lorsque la femelle a trouvé un prétendant elle relâche un fluide visqueux que le male agitant ses pattes transforme en mousse préparant le nid au bout de 9 à 14 heures.
La femelle y met les œufs, prenant environs 45 jours pour éclore, la femelle renouvellera la mousse, entre 26 et
43 survivront et mettront 3 ans à devenir adultes, longévité 12 ans. la femelle ne s'occupera que d'un nid par saison,
le mâle pouvant en générer plusieurs.
la population ayant baissé de 80% suite à la chasse, les maladies et perte d'habitat, au bord de l'extinction, le
champignon chytridiomycosis apparu vers 2002 importé par des grenouilles se trouvant dans des feuilles de bananes a décimé la population, asséchant leur peau, il ne reste que 2 exemplaires sauvegardés en Dominique.
la chasse fut arrêtée complètement en 2003

Infos pratiques sur la Dominique, Dominica:
-Taxe de sortie, lorsque vous quittez la Dominique vous devrez payer une taxe de 85ec$
-Formalités douanières, le passeport pour les Français est recommandé mais la carte d'identité valide est acceptable pour un maximum de 10 jours.
-Température, le climat est tropical la saison sèche va de février à juin et la saison des pluies du mois d'août à octobre, les températures sont souvent entre 24 Celsius et 32 Celsius.
-Décalage horaire, 6 heures de décalage en été et 5 en hiver, si il est 10 heures en France, il sera 16 heures en Dminique.
-Conduire, il faut acheter le permis de conduire national qui vaut 30ec$ valable un mois et pour 3 mois c'est 60ec$, la conduite se fait à gauche.
-Transports en commun, du côté ouest il est très aisé de circuler en bus tous les jours jusqu'à environ 6h du soir excèpte dimanche.
-Eau potable, l'eau du robinet est potable dans tous les emplacements de l'ile, vous pouvez également boire l'eau de certaines rivières mais demander d'abord à votre guide.
-Langue, l'anglais est la langue officielle, également le créole et bien entendu chez Didier du stonedge hôtel on parle français ainsi que l'espagnole.
-Monnaie, la monnaie du pays est le East Caribbean dollar, les deux lettres EC se prononcent ici. Les distributeurs de billets à Roseau, Portsmouth, Marigot.
-Passe écotourisme, le passe une seule entree est de 5us$, un passe multiple a la semaine est a 12us$. Ils permettent de rentrer dans tous les sites des parcs nationaux.
Le passe de la waitukubuli national trail est dispo dans tous les points d'entrees sur l'ile. Mais est en tres mauvais etat.

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Keyan Alexander, l'homme de 31 ans recherché par les autorités dominiquaises à la suite de l'enlèvement de Kernisha Etienne, une petite fille de 12 ans, a été arrêté samedi (18 juin) par la police locale.

Il était activement recherché depuis le 7 juin dernier par toutes les autorités de la Dominique. Ces dernières avaient même fait appel à la gendarmerie de Martinique les 9 et 10 juin derniers. En vain.
Keyan Alexander, 31 ans, demeurait introuvable, tout comme la fillette de 12 ans, qu'il avait enlevée dans la nuit du 7 juin, chez ses parents adoptifs, à Warner.

Selon le média Dominica News Online, c'est finalement samedi dernier, après 11 jours de recherches actives, que la police locale serait tombée sur le fugitif.

Selon Lincoln Corbette, le chef adjoint de la police, les policiers l'auraient surpris vers 15 h 15, alors qu'ils effectuaient une perquisition dans la région de Brookhill Estate. C'est là qu'ils ont croisé la route de Keyan Alexander, armé d'un coutelas d'environ 1 mètre de long.

« La police a tenté de l'appréhender. Il a chargé la police avec le coutelas. La police a pris des mesures pour le maîtriser en tirant sur ses jambes et a pris des mesures immédiates pour prodiguer les premiers soins », a indiqué Lincoln Corbette à DNO.


Le mis en cause aurait évoqué une localisation
Selon cette même source, le mis en cause, décrit comme très dangereux et atteint de problèmes mentaux, aurait alors divulgué quelques informations sur la possible localisation de la fillette, avant de succomber à ses blessures par balles, quelques heures plus tard.

Sur cette base, la police a, en tout cas, intensifié ses recherches dans la zone indiqué pour retrouver Kernisha Etienne ". Mais, à ce jour, la fillette demeure introuvable. Tout le pays espère encore la retrouver saine et sauve.

Dans la nuit du 7 juin, Keyan Alexander s'était présenté au domicile de son oncle et l'avait violemment attaqué avec un coutelas, lui infligeant de graves blessures à la tête et au visage.

Il s'était enfui avec Kernisha, la fille adoptive de ce dernier et s'était retranché dans une zone très boisée. Ni l'hélicoptère de la gendarmerie ou une équipe cynophile dépêchés depuis la Martinique n'avaient permis de le retrouver.

L’idée du Commonwealth naît durant la période de décolonisation britannique. Les anciens "dominions " britanniques (colonies et protectorats) décident de s’unir tout en faisant allégeance à la couronne britannique. L’existence du Commonwealth est officialisée en 1949, lors de la Déclaration de Londres. Le nombre de pays membres a varié au fil du temps. Les membres fondateurs étaient l’Afrique du Sud, l’Australie, le Canada, l’Irlande, la Nouvelle-Zélande et Terre-Neuve. L’Irlande et Terre-Neuve, mais aussi les Maldives et le Zimbabwe ont depuis quitté l'organisation. L’Europe en compte deux membres : Chypre et Malte.

Lors de l'accession au trône d'Elizabeth II en 1952, le Commonwealth était composé de 9 membres : le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, l'Irlande, l'Afrique du Sud, le Pakistan, l'Inde et le Sri Lanka. Désormais, ils sont 56 États membres, dont la plus grande partie du contingent se trouve sur le continent africain (21 pays membres). Le Commonwealth assure à l'empire britannique une présence sur les cinq continents, soit sur un territoire de 30 282 502 km2. Au total, il regroupe 2 558 903 391 habitants, autrement dit, près du tiers de l'humanité, dont 80% vivent en Inde, au Bangladesh et au Pakistan.

Voici la liste des 56 États membres : Afrique du Sud, Antigua-et-Barbuda, Australie, Bahamas, Bangladesh, Barbade, Belize, Botswana, Brunei, Cameroun, Canada, Chypre, Dominique, Eswatini (ex-Swaziland), Fidji, Gambie, Ghana, Grenade, Guyana, Inde, Jamaïque, Kenya, Kiribati, Lesotho, Malaisie, Malawi, Malte, Maurice, Mozambique, Namibie, Nauru, Nigeria, Nouvelle-Zélande, Ouganda, Pakistan, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Royaume-Uni, Rwanda, Sainte-Lucie, Saint Kitts-et-Nevis, Saint-Vincent et les Grenadines, Salomon (Îles), Samoa, Seychelles, Sierra Leone, Singapour, Sri Lanka, Tanzanie, Tonga, Trinité-et-Tobago, Tuvalu, Vanuatu, Zambie, Togo, Gabon.

Qui est le chef du Commonwealth ? Le roi d'Angleterre.

À quoi s’engagent les États membres du Commonwealth ?
L’union des États membres repose sur l’adhésion à une charte qui a pour but d’affirmer des valeurs communes. Au-delà du lien historique avec les Britanniques, il est donc important pour pouvoir faire partie du Commonwealth de :

· reconnaître l’anglais comme langue du Commonwealth ;

· reconnaître la reine Elizabeth II comme cheffe ;

· appliquer les droits de l’Homme ;

· valoriser la non-discrimination ;

· respecter la primauté du droit ;

· appliquer la séparation des pouvoirs…

En l’absence de structure juridique, le Commonwealth est une organisation flexible qu’il est relativement facile de quitter et de réintégrer. Le Zimbabwe en a par exemple été écarté en 2002 suite à l’élection contestée de Robert Mugabe à la tête du pays. Depuis qu’il n’est plus au pouvoir, le Royaume-Uni œuvre pour la réintégration du Zimbabwe au Commonwealth.

Quel est l’intérêt d’appartenir au Commonwealth ?
Les membres du Commonwealth ne sont pas des étrangers les uns pour les autres. Des accords permettent donc de faciliter les échanges, notamment pour le travail, avec l’exemple du "working holiday visa" permettant aux citoyens canadiens, australiens et néo-zélandais de 18 à 30 ans de se rendre au Royaume-Uni pour travailler, et inversement.

Par ailleurs, le Commonwealth dispose d’un fonds pour la coopération économique destiné à soutenir la croissance de certains pays, assurant notamment l’apport de compétences techniques et la formation afin de jouer à la fois sur le court et le long terme. Un système de solidarité et de coopération unit donc les membres du Commonwealth. Il existe également un Secrétariat basé à Londres et qui travaille à la promotion des droits humains et des valeurs démocratiques, ainsi qu’à l’observation de certaines élections ou à l’apaisement des conflits.

Six des États utilisant le EC$ sont des États indépendants : Antigua-et-Barbuda, la Dominique, la Grenade, Saint-Kitts-et-Nevis, Sainte-Lucie et Saint-Vincent-et-les-Grenadines. Les deux autres, Anguilla et Montserrat, sont des territoires britanniques d'outre-mer.